Hernani le retient. Simple qui parle ainsi ! Pour sa chaumière neuve, et pour son jeune front ! C’est une île qui pend à mon royaume, une île. Margraves, cardinaux, doges, ducs à fleurons ; Pris, je pense, pour vous, j’entre ici par surprise ; Venez tous ! Don Carlos les laisse s’éloigner, puis frappe des mains à trois reprises ; à la troisième la fenêtre s’ouvre, et Doña Sol paraît sur le balcon. Sandoval tour à tour nous craint ou nous épouse. Eh bien ! Je rirai si tu veux, je chanterai. Iubirea lui Hernani pentru Doña Sol îl impinge la acte nebuneşti; astfel, acesta se deghizează în pelegrin şi se înfăţişează la reşedinţa Donului Ruy Gomez chiar în ziua nunţii lui cu Doña Sol, apelând ca pelegrin la ospitalitatea acestuia. Titre : acte IV, scène 2, vers 1481 à 1514. Qu’il vous puisse en éclats rejaillir à la face ! D’une femme, l’honneur de toute une famille ; Malheureuse ! Hernani fait un geste pour obéir. Tu leur ferais pitié, vieille tête espagnole ! Un baiser seulement, un baiser !Ô douleur ! ACTE 1 (Saragosse-Espagne) LE SOIR, Jour 1 Scène 1 : Dona Sol attend Hernani- … au refus de Frédéric le Sage ! Dernier coup !Il demande pourquoi — Ah ! Quand on est vieux ! Un baiser d’oncle ! MONTAGNARDS, SEIGNEURS, SOLDATS, PAGES, PEUPLE, ETC. Qu’il vienne. Il présente une fiole à Hernani, qui la reçoit en pâlissant. Car tu m’as supporté trop longtemps, car je suis Une dernière fois ! Vengeance ! Je suis banni, je suis proscrit! Se rouvre…, Se rouvre… Éloignons-la.Doña Sol, bien aimée, Je te trouve en retard.Bien. Une lampe sur une table. il le veut ! Il faut en finir, Dans l'océan céleste il a vu treize étoiles avant qu’on ait pu l’élire, il serait bien Il a sa bonne épée, et que le ciel nous garde Ange ! Votre père Fais ce que tu voudras. Frappe comme un romain, meure comme un hébreu ! Les rois sont à la porte, Hâtons-nous donc alors, fuyons ensemble ! Tandis que je restais à la porte.En honneur, Altesse, pas d'affront ! La chose est toute simple,et l’on peut vous la dire. Le corrigé du sujet "Victor Hugo, Hernani : Acte IV, scène 2, vers 1481 à 1514 - Littérature" a obtenu la note de : 9 / 10 Je le garde, secret et fatal, pour un autre Elle referme la fenêtre, dont la lumière disparaît. Rien. N’est-ce pas, cher seigneur, Doña Sol ! IV / 'A genoux, duc !' nommez-moi Hernani ! / Bida inv. Hernani considère avec un regard froid et comme inattentif l’écrin nuptial placé sur la table ; puis il hoche la tête, et ses yeux s’allument. Il reprend sa marche et disparaît par la rampe de l'escalier. Et tu m’as répondu : – Mon fils, par la clémence ! ce que tu fais est bien ! Et que t'importe à toi son cœur rongé de lave ? Si haut que soit le but où votre orgueil aspire, Trente ans ! – Une chambre à coucher. Le sépulcre est ouvert, et je ne puis attendre. Oh ! Un patio du palais de Silva. Comte, fût-on altesse, D’être deux? Pour titre césar et pour nom Charlemagne ! Que venait-on faire ici ? Tout remuer. Il examine don Carlos, que doña Sol regarde avec crainte et surprise, et sur lequel Hernani, demeuré dans un coin, fixe des yeux étincelants. Oui.Que je meure ! – Désarmez-les. Vous êtes mon lion, superbe et généreux ! Qu’on chercheVous vouliez savoir si je me nomme Don Carlos s’avance à pas lents, la main gauche sur le pommeau de son épée, la droite dans sa poitrine, et fixe sur le vieux duc un œil de défiance et de colère. être empereur ! Écoutez. Jeunes gens, ayons bon courage ! Doña Sol ! Vouliez-vous pas qu’il mît son cercueil de la noce ? Le duc a ma parole, et mon père est là-haut ! Puisque je n’ai céans affaire qu’à deux femmes, Tu me fais souvenir que j’ai tout oublié ! On frappe un second coup. Ce soir pourtant, toute haine avait fui ! Nous aurons des rencontres meilleures. Ne m’en veux pas de fuir, être adoré ! Ils ont force canons, rangés en longues files, C’est Vénus qu’il conduit ! Dire la chose à toi, féal sujet que j’aime, Avec le geste d’un homme qui se rappelle tout à coup. Très auguste, et Dieu seul peut le toucher du doigt. C’est Carlos ton esclave ! Tu sais ce que tu fais ! Un homme comme sont tous les autres, un être L’idée est triomphante ! Injustes que nous sommes ! Ambitieux de rien ! Des pièges, des écueils, des menaces sans nombre, Je n’ai plus qu’elle. Cache-moi céans.Vous ! Hélas ! Tu n’as rien. Apprends-moi tes secrets de vaincre et de régner, Je saurai déjouer vos complots insolents. Car vous m’avez aimé ! Viens ! Des épées ! Vous êtes insensé si quelque espoir vous leurre. Duc ! Cela peut s’oublier. La belle adore Eh bien, tout, fiefs, châteaux, vasselages, la sienne à moi. Des couronnes, fort bien ! Le sépulcre flamboie, Et je vais à ton père en parler chez les morts ! L’univers ébloui contemple avec terreur Mais pourquoi le lâcher lorsque vous le tenez ? De son domino noir tachait la mascarade ? Hernani recule étonné. Majesté ! Seigneur, reparlons de ce traître. Il est mort, le rebelle ! Une pièce, un haillon, qui, tout déchiqueté, Je me brise aisément. Parce que beauté, grâce, L'on rirait. Je devais savoir qu’avec ton âme Par pitié pour votre âge et pour vos soixante ans, Dont l’estoc, refaisant la fortune imparfaite, je suis là, j'épie et j'écoute, et sans bruit La tête de ton père ! Il lève les yeux et les promène sur les portraits qui entourent la salle. Non, non, je reste. Ici, dans ton château, tu le caches ! Par sa mère Olmedo, par son père Alcala. Parce qu’on est jaloux des autres, et honteux Que de l’amour pour vous. Seigneur Hernani, ce n’est pas vous ! Je n’ai rien vu, rien dit, rien fait. Et que nous daignerons, nous, victimes trompées, Je vous ai fait l’honneur de toucher votre épée, Don Carlos détache sa toison d’or et la lui passe au cou. Et, en définitive, leurs efforts de réaction auront été utiles. Monsieur l’électeur de Trèves, c’est ici ! une dot de douleurs. Vous savez qui je suis et je sais qui vous êtes. Vengeance ! Un seul. Non.Voilà notre nuit de noce commencée ! Lui, mort, ne compte plus. Pourquoi fais-je ainsi ? Couvrons-nous, grands d’Espagne !Oui, nos têtes, ô roi, Vous parliez tout à l'heure assez haut, mes statues ! D’autres, de ce côté, vont jusqu’au monastère Je voudrais savoir, ange au ciel réservé, Don Ricardo salue profondément le roi et met son chapeau sur sa tête. HERNANI. Les rois Rodrigue font les comtes Julien. Les deux combattants remettent leurs épées dans le fourreau, don Carlos s’enveloppe de son manteau et rabat son chapeau sur ses yeux. et l’on m’embrassera ! Sire, ayez la pitié de nous tuer ensemble ! Tout enfant, que les bois où je fuyais pieds nus. Me voilà grand d’Espagne.Ah ! Ma race en moi poursuit en toi ta race ! Souffres-tu ? Je suis faible, ma force avorte dans mon âme, Débouchent dans la place en longues cavalcades ! – Il est nuit. — Très saint-père, merci ! Seul il me semblait trop grand. — Va-t’en. Tu m’appartiens !Ma vie à vous ! Va ; j’en ai respiré le parfum ! Ah ! Et puis qu'il est mon hôte, et puis qu'il est votre hôte…. On garde les bâtards pour les pays conquis, Vous avez l’échafaud, nous avons le poignard. – Au combat d'Escalona, don Sanche, Quel nom ? Pourtant! — Quant au roi de Bohême, il est pour moi. – A droite, le tombeau de Charlemagne, avec une petite porte de bronze basse et cintrée. Entre doña Sol, en blanc. Il vous aime, il va vous épouser ! Je vous fais compliment ! Cromwell, acte III Les Fous, la chambre peinte, à White Hall. L'empereur Charles-Quint succède, et qu'une loi [...] À droite, le tombeau de Charlemagne avec une petite porte de bronze [...] On ne voit pas le fond du souterrain ; l’oeil se perd dans les arcades, les escaliers et les piliers qui s’entrecroisent dans l’ombre. Certe, il serait le roi, prince, et vous le voleur ![8]. S'entr'ouvre, et dans la nuit jette au monde un éclair ; Épouse le duc !Donc ce n’était pas assez ! Eh bien, qu’en veux-tu faire ? Allez ! Du pied à tous les ducs, du front à tous les rois ! Pitié ; je l’aime tant ! Qui donc ose à cette heure, Il n’en a rien été. Fanfare. Bois si tu veux ! Voilà ce que veut le public, et il veut bien. Et du titre et du nom triomphants ? Qui partout dans nos monts lèvent leurs fronts hardis. Mauvais, je noircirais tes jours avec mes nuits, Uniquement disponible sur LaDissertation.com, Résumé des actes dans la pièce de théâtre Hernani de Victor Hugo, Étude de la pièce de théâtre Bataille Hernani de Victor Hugo, Corpus sur trois textes: L'acte V, scène 4 de Ruy Blas écrit par Victor Hugo, Caligula acte IV scène 14 par Albert Camus et un passage de Le roi se meurt écrit par Eugène Ioneso. Plus qu’un cimier de roi la rougeur de mon front ! Ne me rappelle pas, futur César romain, Non, mon duc, c’est ton cou qui sied au collier d’or. Tout est-il fait ? – C’est le poignard, qu’avec l’aide de ma patronne Ne te plains pas de moi, je t’ai gardé ta part. Il est à vous, ce trône où tout monarque aspire ! Mais veux-tu Don Carlos, te voilà pris à ton propre piège, Ayons l’aigle, et puis nous verrons S’il tombe un seul cheveu de ton front, que je meure ! Alors, mon prisonnier !Ayez pitié de moi, Or il faut que je sorte une heure, et moi qu’on nomme Dont puisse s’élargir l’âme avec la fortune. Vous êtes altesse, Dérobé. LE DUC DE BAVIÈRE. Partons-nous ? Ne bois point ! Non !Par pitié, prends ma tête ! Enfin, on laisse dire à cette pauvre femme Ne pas l’être — et sentir son cœur plein de courage ! Eh bien, écoute, ami. Mais puisque j’ai sans fruit aiguisé mon épée C’est toi ! tu vas être heureux ; moi, je suis empereur. ». – Donne-moi ta main. Il la regarde fixement. j’entends le pas Tout se tait. Vieillard insensé, Et peut-être c’était le major des bandits ! – Roi don Carlos, merci ! Oh ! Que vous êtes bon pour une pauvre femme, Félicité parfaite ! Royaumes, marquisats, tous sont héréditaires, Pour rien. Partout vous le traînez. je ne nomme pas quelques bandits, gagés Hernani, ce rebelle De hauts clochers d'église à sonner le tocsin ! L'accès Hernani acte III scène 1 11184 cas être responsable des notes ou des sanctions résultant de l'utilisation Héroïsme en morceaux dans Hernani .t2 { font-family: "Arial"; font-size: 8pt; color:#000000} Parmi ses montagnards, libres, pauvres et graves. Que retenir de l’acte I, scène 2 d’Hernani, le célèbre drame romantique de Victor Hugo ?Retrouvez toutes les subtilités de cette deuxième scène de l’acte I dans un commentaire original et complet pour approfondir votre réflexion sur la pièce. Tu ne seras touché par un autre que moi. Les balles des mousquets siffler à votre oreille. Le nommer empereur ? Oui, de ta suite, ô roi ! Vous raillez-vous ?Voilà don Vasquez, dit le Sage, Non, je ne le veux pas. Je te rends ce cor.Quoi ! Hernani !Doña Sol ! Tes amours désormais, tes maîtresses, hélas ! Doña Sol ! Par tous ses côtés fais-moi voir toute chose ! Mais que veux-tu, ma pauvre enfant ? Laisse-moi dormir et rêver sur ton sein, Le duc m’a parlé.Qu’est-ce alors Laissez-nous seuls tous deux. Dansons ! Mon hôte ! Il est toujours tard pour être seuls ensemble. Scene 1; Scene 2; Scene 3; Act 5. Arrête ! De parler de la sorte ?Eh bien ! Écoute, on n’est pas maître frappons la tête et la couronne est morte ! Fait lever sur mes pas des gibiers de bourreau, – Gotha, Galice ! – Qui nomme-t-on encore ?On cite avec ceux-là Devions-nous pas dormir ensemble cette nuit ? Download this stock image: . Moi ! Jamais. Au secours !Taisez-vous, De n’y point renoncer, et de vouloir toujours Oui, je veux voir brûler les flambeaux et les cires, deux flambeaux ! Et, si quelques lambeaux m'en étaient arrachés. Si tu daignais vouloir qu’avant de fuir aux cieux Ont fait ses cheveux gris, un jour les a faits blancs. Duchesse, ou marquise, ou comtesse, Comte ! Un homme, un pèlerin, un mendiant, n’importe, A la bonne heure ! Certe, ils étaient bien là, les deux beaux jeunes hommes ! Que votre front reluise entre des fronts royaux ; Je ne m’étonne plus si l’on aime un rebelle. Le jeune amant sans barbe à la barbe du vieux. La jeunesse est légère. – Va C’est égal. Vous donnez l’éveil aux yeux jaloux. Monsieur, vous me paierez ceci ! De frapper tour à tour et sans nous y soustraire, A propos, et celui qui nous demande un gîte ? — A genoux, duc ! Vous ne m’aimez plus !Oh ! Qu’est-ce que ce vieillard ?Le vieillard ! Qu’avec joie il verrait, ce vétéran du trône, Je viens tout doucement dénicher sa colombe. J’ai ton cœur, c’est un vol ! malheureuse !Un ange a compris ma pensée, — Vous l’aimez !Tremble donc. Toi, calme et belle, moi, violent, hasardeux, Prête à montrer la route au sort qui veut broncher, Dans quel moment ! Seul, entouré partout d’ennemis acharnés, Mon cœur et mon âme, Tout se brise, tout meurt. Je vous aime.Oh ! – Don Jorge, qui paya la rançon de Ramire, c’est lui ! Non, l’empereur. Il déchire sa robe de pèlerin, la foule aux pieds et en sort dans son costume de montagnard. Au feu ! Mais écrasons d’abord ce ramas qui conspire, Il lui présente sa main à baiser, ainsi qu'au du de Bavière, puis congédie les deux électeurs, qui le saluent profondément. Oh ! Ouf ! Que devient-il ?Il a descendu l’escalier. Il compte, et nous dansons. se peut-il que tu meures En somme, le moment n’est peut-être pas encore venu de le juger. C’est pour elle surtout qu’il travaille, parce que ce serait une gloire bien haute que l’applaudissement de cette élite de jeunes hommes, intelligente, logique, conséquente, vraiment libérale en littérature comme en politique, noble génération qui ne se refuse pas à ouvrir les deux yeux à la vérité et à recevoir la lumière des deux côtés. Je parle pour le ciel qui m'écoute, et pour Dieu. je l’effraie, il chancelle Crime ! Un mort damné, fantôme ou démon désormais, Oh ! Rien, plus rien.Vois-tu des feux dans l’ombre ? Ces deux moitiés de Dieu, le pape et l’empereur ! Accéder au commentaire de texte : Commentaire : Hugo : acte IV, scène 2, vers 1481 à 1514. DUFOUR DISTILLATEUR. C’est aujourd’hui ! Il faut que vous sachiez quel nom, quel rang, quelle âme, Je suis une force qui va ! Le duc va au-devant du roi et le salue profondément. Ange ! Hors que de mon château démoli pierre à pierre, Doña Sol court à Hernani, il la fait reculer d’un regard de défiance. Le collier est d'un beau travail, – et le bracelet HERNANI OU L'HONNEUR CASTILLAN DRAME HUGO, Victor 1830 Publié par Gwénola, Ernest et Paul Fièvre, Décembre 2015 ... - 4 - ACTE I SCÈNE PREMIÈRE. Leur fer et leur acier, que vous votre velours. Encore un coup, sois riche avec lui, sois heureuse ! Je les donnerais ! Laissez-moi m’expliquer avec le duc ici. On ne vit jamais noce aux flambeaux Choisis, et faisons vite. Car je l’aime.Oui, pardon ! je donnerais Gand, Tolède et Salamanque,